PLAYFULNESS-THE COST

J'aime la forêt, l'eau qui s'y transforme en neige, en glace noire, les arbres qui se déshabillent pour ensuite réfléchir sur le sol d'automne, avant de profiter de l'hiver blanc pour s'enfoncer sous le gel et alors se refaire un désir de sortir 'dehors', parce que lors le printemps commence d'étirer le soleil, il est temps d'ouvrir ses longues ramures pour y aller s'ensoleiller de verte vie;

Je ne puis que 'jouer', sans but, simplement pour 'déplacer', 'déranger' les choses, les objets, les vivants, afin d'y voir ce qu'il en reste de vie, afin de finalement savoir si le coeur bat encore dans l'enveloppe, quelle qu'elle soit;

Je ne joue jamais avec les 'autres', car comme dirait l'ancêtre surgi d'une petite antique maison dans un champ tout fissuré du labour d'automne, "Votre arrière grand père était un homme qui savait rire et n'a jamais ri de personne";